Une vision écologique

Demain est la journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, comme tous les 29 novembre. L’an dernier, Europe Ecologie Les Verts avait publié un communiqué de soutien au peuple palestinien dans lequel le parti soutient le BDS pourtant jugé illégal en France pour incitation à la discrimination sur la race ou la nationalité. C’était à l’époque une période difficile pour moi et je n’avais pas réagi. Mais je n’ai pas oublié. Voilà donc ma riposte.
Puisque ces gens se mêlent du conflit israélo-palestinien en se rangeant du côté des anciens nazis et des islamistes contre une démocratie qui fait renaître l’écologie de la terre d’Israël, je me sens parfaitement le droit de les attaquer moi aussi sur leur terrain, en leur refusant même la légitimité de représenter la défense de l’environnement comme ils le prétendent. Voici la vision écologiste d’un chrétien qui défend Israël, ce qui est déjà suffisant pour qu’ils m’accusent de leur avoir pollué le cerveau…

J’ai grandi sous l’orgueilleuse stature des montagnes. Quand j’étais un petit enfant, ce sont les Montagnes Rocheuses, aussi douces qu’elles peuvent être cruelles, qui me toisaient de leur beauté et de l’émeraude glacée de leurs lacs. C’est dans ces vallées canadiennes que j’ai appris la crainte, faite d’admiration, de respect et d’une dose raisonnée de peur pour ces majestueux sommets aux cheveux blancs de neige éternelle et leurs sombres et mystérieuses sylves aux pieds dans l’eau des glaciers, où le puissant Grizzly règne en maître. Plus tard, quand je m’asséchais d’ennui sur les bancs du Lycée Saint John Perse de Pau, mes yeux, appesantis de lassitude dans un visage écrasé sur mon bras accoudé en guise de soutien, cherchaient naturellement l’horizon chaotique formé par la tombe de Pyrène, au sud, par-dessus les toits de l’Université de Pau.

Pic du Midi d’Ossau
Photo par Pug

Oui, la tombe de Pyrène… Vous n’en connaissez pas la légende? Souffrez que je vous la raconte. En venant nettoyer les écuries d’Augias, au cours de ses fameux douze travaux, le demi-dieu Hercule tomba éperdument amoureux de la fille du Roi Augias, la magnifique et douce Pyrène qui succomba à son charme et à sa puissance. Ils vécurent une idylle d’amour et de tendresse pendant que durait le travail d’Hercule mais hélas, conduit par son destin, il devait partir pour accomplir sa quête des douze travaux. Il partit donc, laissant la pauvre Pyrène éplorée de chagrin. N’y tenant plus, elle s’élança à sa suite pour le retrouver et l’aimer jusqu’à ce que la mort les sépare. Mais hélas, la mort attendait la douce Pyrène lorsque les loups la prirent en chasse et l’attaquèrent. Ses cris de terreur furent entendus par Hercule qui se précipita à son secours mais, las, il arriva trop tard et les bêtes féroces avaient tué son grand amour. Après un combat d’anthologie où il vint à bout de la meute, Hercule releva le corps sans vie de Pyrène et lui bâtit une tombe en amassant des pierres et des roches sans cesse jusqu’à ce que sa douleur s’en fut allée. Lorsque Hercule enfin sécha ses larmes et s’en fut poursuivre sa tâche, il se retourna au bout de quelques lieux pour contempler la dernière demeure de Pyrène que nous connaissons tous comme la chaîne des Pyrénées.

Marmotte des Pyrénées, pyrogravure peinte par « Le Copiste », frère de Jeep et Pug

Ces Pyrénées, en compagnie de mon artiste de frère, j’ai appris à les aimer tendrement et à grimper sur la montagne, selon les mots du Sherpa Norgay Tenzing, vainqueur de l’Everest, avec le respect d’un enfant qui monte sur les genoux de sa mère. C’est la montagne qui décide. Nous ne sommes que des invités tolérés dans ses bras. Lorsque l’on pénètre dans les vallons, les coups de sifflets stridents des Marmottes qui se cachent comme des sentinelles en guerre nous rappellent que nous sommes des étrangers qui doivent accepter les règles et parfois les caprices de la montagne. Parfois, elle se met en colère, sans prévenir et l’orage gronde, clouant sur place le randonneur imprudent qui ferait mieux de se faire oublier pendant que sa fureur passe. Quiconque n’a pas peur de l’orage n’a pas connu le tonnerre secouer ses poumons dans les vallées pendant que les ruisseaux deviennent des torrents menaçants et trompeurs!

Ours des Pyrénées, par « Le Copiste », frère de Jeep et Pug

Et que dire de la présence, diffuse et mystérieuse, que l’on ressent lorsqu’on sait qu’on est dans le pays de l’Ours, que l’on voit ses traces de pas ou ses poils sur l’écorce de l’arbre où il s’est frotté. On baisse la voix, l’oeil aux aguets, espérant et redoutant à la fois une rencontre avec le nounours craintif de nos vallées, qui peut charger vaillamment pour protéger ses petits…

Parenthèse biblique, pour illustrer: “ Qu’un homme rencontre une ourse privée de ses petits, plutôt qu’un sot dans sa folie! ” Proverbes 17:12
Ce long préambule montagneux introduit le sujet de l’écologie, à la manière dont je la vois, c’est à dire le respect amoureux que j’éprouve pour la création de Dieu. Encore un sermon, me direz-vous, mais ma foi en Dieu est constitutive de ma personne. Voire même, elle est tout ce qui reste quand ma vie s’écroule…
“Ou étais-tu quand j’ai fonde la terre? Déclare-le-moi, si tu as de l’intelligence. Qui lui a établi sa mesure, -si tu le sais? Ou qui a étendu le cordeau sur elle? […] Es-tu allé aux sources de la mer, et t’es-tu promené dans les profondeurs de l’abîme? […] Ton regard a-t-il pénétré jusque dans les vastes espaces de la terre? Dis-le, si tu connais tout cela. […] Es-tu allé aux trésors de la neige, et as-tu vu les trésors de la grêle, que j’ai mis en réserve pour le temps de la détresse, pour le jour du combat et de la guerre? […]

Vautour Fauve des Pyrénées, pyrogravure par « Le Copiste », frère de Jeep et Pug

Sais-tu le temps ou mettent bas les bouquetins des rochers? As-tu observe les douleurs des biches? As-tu compté les mois qu’elles accomplissent, et connais-tu le temps ou elles mettent bas? Elles se courbent, elles enfantent leur portée, elles se délivrent de leurs douleurs. Leurs petits deviennent forts, ils grandissent dans les champs, ils s’en vont et ne reviennent pas à elles. […] Est-ce par ton intelligence que l’épervier prend son essor et qu’il étend ses ailes vers le midi? Est-ce à ta parole que le gypaète s’élève et qu’il bâtit haut son aire? Il demeure dans les rochers et y fait son habitation, sur la dent du rocher et sur les hautes cimes. De là il épie sa nourriture, ses yeux regardent dans le lointain.”
Livre de Job, extraits des chapitres 1 et 2
L’écologie, pour moi, est simplement un nom donné à un sentiment que j’ai depuis que je suis enfant, d’abord à l’ombre des Montagnes, ensuite par l’intérêt porté à la mer et aux océans, à savoir le profond respect, admiratif et émerveillé, pour la nature, comme création de Dieu, un peu comme la dévotion qu’un admirateur de Michel-Ange aurait pour les œuvres du maître.
Autant vous dire, et c’est le sujet de cet article, que je suis à des années-lumière de l’écologie politique que l’on nous sert depuis déjà plusieurs décennies.
Je vais aller droit au but. Depuis ces quelques décennies où l’écologie est entrée dans le champ politique, elle est devenue une idéologie politique et a été savamment récupérée par des déçus du Marxisme pour imposer une nouvelle forme de morale de gauche après l’échec de la morale socialiste. Globalement, l’écologie politique est présentée de la même manière que le socialisme: Il existe une cause supérieure qui doit s’imposer à tous et qui doit dicter la politique des nations. Pour le socialisme, ce fut la “justice sociale”. Pour l’écologie politique, c’est la protection de l’environnement. Le socialisme faisait appel au bon sentiment des humains, ce qui s’est avéré être un échec alors l’écologie politique a adopté une cause encore plus impérieuse: la survie de l’humanité.
Sans faire un cours d’histoire de l’écologie politique, il est évident qu’a été mise en avant et imposée à tous l’idée d’un environnement en danger, tellement en danger que la survie de l’humanité est menacée. Le reste coule de source: face à cette menace pour l’humanité, il n’est plus question de laisser la liberté à quiconque, que ce soit en matière économique, industrielle, familiale, ou même culturel. Les écologistes politique souhaitent mettre en place un état d’urgence écologique dans lequel tous les aspects de la vie des hommes tomberont sous le pouvoir indispensable des gouvernements qui prendront les bonnes décisions pour sauvegarder la planète et notre cadre de vie naturel. Pour faire simple encore, il est d’urgence vitale que nous renoncions à notre liberté et même à notre liberté de pensée pour tout confier aux gouvernements qui savent mieux que nous et qui agiront pour notre bien, comme un malade renonce de facto à sa liberté pour se soumettre à un médecin pour se faire soigner. Cela est vrai à l’échelle des nations mais aussi au niveau international.
Cette écologie politique a clairement le programme de soumettre la terre entière à ses exigences qu’elle présente comme scientifiques, donc non-négociables, et impérieuses pour la survie de l’humanité. L’Internationale Ecologiste remplace l’Internationale Communiste et la COP (on en est à la 23) a remplacé le Congrès du Komintern avec davantage de succès puisqu’elle parvient graduellement à réunir le monde entier en son sein. Mais le totalitarisme qui régnait au Komintern est également appliqué à la COP, il suffit de voir les réactions à l’élection de Donald Trump, présenté presque comme un criminel contre l’humanité parce que “climato-sceptique”. En France, les personnes qui s’interrogent toujours sur la question du climat et qualifiées de “climato-sceptique” sont traitées de “connards” par l’ancienne candidate à la primaire de la droite et du centre, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Moi aussi, je vais passer pour un climato-sceptique et franchement, ce titre ne me dérange guère. On me traite bien volontiers de suppôt de la juiverie internationale parce que je défends Israël, si ce n’est même de complice de crimes de guerre parce que je défends les actions de l’armée israélienne. Très sincèrement, je m’en moque et les noms d’oiseaux ne sont pas de même à effrayer un aviateur. J’ai lu et entendu des arguments très sérieux par des personnes très sérieuses qui vont à l’encontre de ce qu’on entend habituellement et j’y réfléchis. J’ai lu aussi des choses sur l’histoire des idées et de la science climatiques qui donnent un éclairage particulier aux idées actuellement dominantes. J’ai aussi lu des choses sur l’histoire du monde et notamment sur des périodes plus chaudes dans l’histoire des hommes, notamment au Moyen-Âge, sans que ce ne soit imputable au capitalisme industriel néo-libéral d’inspiration impérialiste américaine.
Je note aussi que, face au “consensus scientifique” actuel sur le réchauffement climatique d’origine humaine, le “consensus scientifique” face à Christophe Colomb à son époque établissait que la Mer Océane ne pouvait être franchie et qu’il est donc possible que nos “consensus scientifiques” d’aujourd’hui soient parfaitement risibles pour les scientifiques du 26ème siècle. Sans être un expert ni même un connaisseur de ces sujets, je garde donc un recul minimum sur ces questions, en n’oubliant jamais qu’il y a un véritable programme politique supra-étatique, totalitaire, anti-capitaliste et internationaliste qui s’appuie sur ces thèses et ce consensus scientifiques. Quitte à passer aussi pour un complotiste, je pense que tout ce qui a été créé et qui vit appuyé sur ces thèses et ce consensus est aujourd’hui “too big to fail”, trop puissant pour échouer. Il y a tant d’influences et d’argent en jeu que personne ne laisserait une idée divergente menacer le système, quand bien même elle fut scientifiquement démontrée. Pour préciser le titre qu’il est bon, je crois, de me donner, je me qualifierais moi-même de “climato-méfiant” ce qui est sans doute pire que “climato-sceptique”.
Je pense surtout que l’écologie n’est pas affaire d’états réunis en congrès internationaux tentant d’adopter un nouveau modèle économique et social pour relancer une croissance et un développement issu de la reconstruction après la Seconde Guerre Mondiale et qui arrivent aujourd’hui à leurs limites. Pour paraphraser Clemenceau, je pense que l’écologie est un sujet trop grave pour le confier aux seuls politiciens, qui vont en faire n’importe quoi sauf un véritable axe de protection de l’environnement et par là-même de l’homme. Est-ce à dire que je suis un incorrigible industrialiste productiviste, suppôt des lobbies pétroliers, etc?
Loin de là. Mon approche de l’écologie est beaucoup plus proche des véritables considérations quotidiennes des humains, au lieu de se fixer sur une échéance à 50 ans où la science et les technologies auront évolué dans un sens auquel, très probablement, nous ne nous attendons pas.
Quelques exemples précis, pour ne pas faire de cette article une thèse de doctorat en médecine:
-On nous dit qu’il faut arrêter les hydrocarbures pour limiter les gaz à effet de serre qui réchauffent la planète.
Je pense, pour ma part, qu’il faut mettre le paquet en investissements, comme en allègements fiscaux aux entreprises, pour que des innovations viables sortent de la merveille qu’est le cerveau humain et trouver des alternatives sérieuses au pétrole pour que nous ne soyons plus dépendants des pays producteurs de pétrole qui sont tous, à quelques exceptions près, des fauteurs de troubles internationaux et promoteurs de violence internationale par guerre ou terrorisme. Imaginez que nous trouvions un moyen de ne plus avoir à acheter le pétrole et le gaz à l’Arabie Saoudite, au Qatar, à l’Iran, à la Russie et au Venezuela. Les revenus de ces pays s’effondreraient et au lieu de jouer les gros bras ou les maîtres-chanteurs sur la scène internationale, ils seraient relégués à la place véritable que leur développement national leur confère. Sans le pétrole, même pas de Daech!
-On nous dit qu’il faut investir dans la rénovation de l’habitat pour limiter la consommation en énergie et on nous fait installer des panneaux photovoltaïques sous crédit d’impôts qui permettent de vendre de l’électricité à EDF une fois que l’installation a été amortie.
Je pense, pour ma part, qu’il faut mettre en place un moratoire fiscal de 10 ans sur tous les produits et services de rénovation énergétique de l’habitat de façon à casser les prix et, in fine, à rendre les habitations autonomes en énergie, n’étant branchées sur le secteur publique que pour des pannes ou des surplus de consommation. Imaginez l’économie réalisée par les ménages, surtout les ménages en précarité ou pauvres si leur logement produit l’énergie dont ils ont besoin sans qu’ils aient à payer et donc sans risquer de se faire couper l’électricité en cas de défaut de paiement.
-On nous dit qu’il faut limiter les déplacements en voiture et en avion pour limiter les gaz à effet de serre et l’expulsion de particules dans l’air, qu’il faut acheter des véhicules électriques ou hybrides (qui coûtent une fortune et ne sont accessibles qu’aux personnes aisées) et que l’on va taxer le diesel et l’essence, ou autres taxes carbone, pour inciter les citoyens à changer de véhicule.
Je pense, pour ma part qu’il faut, là aussi, mettre en place un moratoire fiscal de 10 ans sur tous les véhicules à énergie alternative en imposant à tous les niveaux d’acteurs économiques de la filière, des matières premières aux revendeurs, de ne pas répercuter la baisse fiscale sur leurs marges, afin de casser les prix et de rendre in fine, les nouveaux véhicules compétitifs avec les anciens et donc de permettre aussi aux moins aisés d’envisager cet achat. Bien sûr, on rejoint ici le premier exemple qui est de réduire voire anéantir notre dépendance au pétrole, ce qui aura un impact autant sur la qualité de l’air que nous respirons tous les jours comme sur les relations internationales avec des états voyous qui jouent de notre dépendance.
Quand à l’aviation, vous me permettrez d’en profiter pour prêcher pour ma paroisse avec quelques éléments de réflexion: 
-L’aviation commerciale transporte plus de 3 milliards de passagers par an dans le monde entier. Pourtant, les émissions de gaz à effet de serre de l’aviation ne représentent que 2% des émissions mondiales.
-L’aviation commerciale passe sont temps à chercher à réduire sa consommation de carburant parce que ça coûte cher. Si on vole à haute altitude, c’est parce que là-haut, on va plus vite et on consomme moins.
-Certes, les avions percutent parfois des oiseaux mais par rapport au nombre de vols par jour dans le monde, le nombre d’oiseaux tués est très réduit et n’atteindra jamais le nombre d’animaux tués par des automobiles sur les routes ou le nombre d’animaux marins tués dans les mers et océans par les bateaux. Et nous accuser de tuer quelques oiseaux quand on tue 60 milliards d’animaux terrestres et 1000 milliards d’animaux marins par an pour bouffer, c’est juste ridicule de malhonnêteté.
-Je n’ai pas les chiffres exacts en tête mais, même en prenant un chiffre de 3km de piste pour chaque aérodrome et aéroport de France, on aurait du mal à rivaliser avec les millions de km d’autoroutes, routes nationales, routes départementales et rues de villes. Je pense même qu’avec toutes les pistes françaises, on n’arriverait pas à faire une autoroute Toulouse-Paris. Donc si on veut parler « d’empreinte environnementale », je suggère de parler d’abord des dégâts à la nature causés par les routes et les voies ferrées, sans compter les expropriations nécessaires sur le trajet de chaque route ou voie ferrée.
On pourrait en discuter des heures mais déjà, avec ces quelques points, l’idée d’aviateurs pollueurs égoïstes est mise à mal. En fait, si vous voulez vraiment préserver l’environnement, prenez l’avion!
Vous comprendrez, avec ces exemples, qu’au final, je veux le même résultat que l’écologie politique dominante. Je veux mettre fin à la dépendance au pétrole et renforcer la performance énergétique des bâtiments mais il est évident que mon but et mes moyens ne sont pas les mêmes. Je veux faire appel au génie humain et libérer les moyens financiers pour parvenir à des solutions. Et au lieu de taxer à tout va et d’étouffer toujours plus les citoyens, je veux au contraire casser les prix et mettre en place une concurrence ouvertement déloyale en faveur des énergies renouvelables pour que les citoyens eux-mêmes fassent leur choix.
Il est hors de question pour moi d’opposer la liberté des citoyens, une principe fondateur de nos démocraties, à l’exigence écologique avec un programme politique masqué. Je suis persuadé que la responsabilisation des citoyens, en leur rendant leur liberté d’action et le pouvoir d’achat qui va avec, sera une bien meilleure et plus authentique mesure écologique que la “fiscalité écologique” qui consiste à taxer toujours davantage ou la régulation par des normes et de lois qui consiste à toujours alourdir le poids administratif de l’Etat et des collectivités publiques.
Aparté sur Israël, puisque c’est tout de même sur une page pro-israélienne que j’exprime cet avis. Que les partis écologistes du monde entier fassent leurs choux gras de leur soutien à « la Palestine », pourtant lieu de carnage environnementaux notoires alors qu’Israël est un fleuron du reboisement avec plus 250 000 000 d’arbres plantés en près de 70 ans, qui est le seul pays du monde ou la forêt progresse, qui est le premier pays en retraitement des eaux usées et qui est en pointe de l’agriculture éco-responsable, c’est bien la preuve, s’il en fallait, que l’écologie politique a bien d’autres préoccupations que la réalité de l’environnement. J’invite, pour plus de précisions, à lire l’article que j’avais consacré à la visite des projets du KKL lors de notre voyage de 2015: Les réalisations du KKL en Israël
Et il est hors de question, pour terminer, de laisser l’écologie et la protection de la création divine, qui m’émerveille toujours, chaque matin que Dieu fait quand je vois les Pyrénées depuis le balcon de mon appartement, entre les mains d’anciens marxistes revanchards qui veulent toujours en finir avec les USA et le monde anglo-saxon, Israël, le capitalisme, le droit à la liberté individuelle et à la recherche du bonheur et de manière générale, à tout ce qui représente la société judéo-chrétienne libre et démocratique moderne. Juste histoire de faire rager les venimeux, n’oubliez jamais que les premiers parcs nationaux ont été créés aux USA (Yellowstone, 1872) et en Australie (Royal National Park, 1879)

Le Carlin, Pug en anglais, pour lequel je porte ce pseudonyme, une semaine avant sa mort le 28 Juin 2014, lors de notre dernière promenade ensemble en Vallée d Ossau. Not a day that goes by without a thought for you, my billyboy… 

L’écologie ne doit pas être une nouvelle manière d’emprisonner l’homme dans un système socio-économique ou dans une idéologie qui nous mènera à des drames. Suis-je le seul à m’alarmer que certains “écolos” pensent qu’il faut réduire de force la natalité ou “gérer” la population mondiale pour préserver l’environnement?
Non, l’écologie doit venir d’un coeur d’enfant émerveillé par la beauté de la nature et doit au contraire magnifier la liberté parce que la liberté est une des lois fondamentales de la nature.
“ Et Dieu vit tout ce qu’il avait fait, et voici, cela était très-bon”
Genèse 1:31
Pug

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